Les trois compagnons avancaient dans les bois, suivant la piste, débroussaillant les fourêts, ils finirent par continuer en parallèle pour ne pas débarquer au milieu d'un groupe d'ennemis de façon innoportune.
De par cette précaution, les marcheurs arrivèrent en surplomb de l'entrée d'un gouffre rocailleux. Depuis un moment déjà, Ysabel avait sentis la présence et l'odeur des bêtes qui se tenaient à l'embouchure mais pas que...
En effet elle vit sentit aussi la présence d'humains, certainement les pauvres gens du village !
Grâce à la magicienne, le petit groupe réussit à garder leur propre odeur sous le vent, aussi les bêtes ne se méfiaient pas. Seule cette entrée était gardée car en effet Heinrich leur avait dit qu'il s'agit dans cette région d'un système communicant de plusieurs souterrains.
Rapidement les trois aventuriers trouvèrent l'une des entrées. Clodhbert et Heinrich se revoyaient l'année précédante dans une caverne plus simple que celle-ci où un monstre avait enlevé une jeune fille.
Le chevalier première ligne tomba par surprise sur un premier individus par surprise. Le bouque s'écroula immédiatement avec l'épée du chevalier lui transperçant le poitrail. mais il avaient bêlé ! Son crie avait résonné dans les tunnels et déjà des adversaires arrivait sur eux.
La chance avait souriée au chevalier et à son fantome nouvellement apparue car les premiers hommes-bêtes pensaient arriver pour aider l'un des leur dans une situation de péril simple un éboulement, une blessures qu'il se serait fait tous seul... Aussi n'étaient-ils pas préparés au combat quand ils tombèrent sur le chevalier et le fantome.
Là encore les trois ovains bipèdes ne firent pas un plis, mais cependant ils eurent le loisir donner une véritable alerte !
Le chevalier et Ludwig affrontèrent la nouvelle vague. D'autres gors étaient sur eux, cette fois, prèt à en découdre !
L'étroitesse des couloirs fit perdre l'avantage de leur nombre aux mutants Qui trépassèrent à leur tour. Ce revers permire aux trois explorateurs de s'enfoncer plus en avant encore...
Homme-bête : Dégat : 2, armure 1, rang : 5.
Dans une cavité bien plus large ils tombèrent sur une chose étrange. Des hommes étaient prisonniers de cages de bois et de cordages sommères gardés par d'autres hommes.
D'ailleurs, c'est derniers se précipitèrent en nombre sur les trois nouveaux arrivants.
Humains : Dégat : 1, armure : 0, rang : 10.
Dans l'étonnement de voir des humains se précipiter sur lui, le chevalier préféra plutot se défendre. Mais malheureusement l'obscurité, le surnombre et la surprise, ces simples paysans débordèrent le Bretonnien ! Mais la coordiation des trois amis permirent de ne pas laisser à ces pauvres adversaires l'occasion de leur faire quelconque dégâts.
Ysabel déclencha alors un sort pour tenter de renverser la domination de l'affrontement. Les paysans prirent soudaiment peur et s'enfuire. là pour ne pas leur laisser une occasion de reprendre le dessus Clodhbert les poursuivirent se séparant momentanément d'Ysabel et Heinrich.
Les humains dispersés que le chevalier rattrapa ne fire pas un plies et passèrent tous par le fil de l'épée ! Quand Clodhbert revint avec ses compagnons il ne croisa pas plus d'hommes bêtes. Mais Ysabel et Heinrich avait fini de s'occupé des derniers humains ostils et commençait même à librer ceux en cage.
La priorité c'était de mener les rescapés à la surface. Mais voila que de nouveaux beuglements caverneux résonaient à nouveaux! D'autres Gors arrivaient et il fallait se dépécher. Heinrich en tête menait les pauvres gens en sécurité, Ysabel les couvrait, et Clodhbert fermait la marche avec Grosswal.
De boyaux en tunnels, le groupe fini par s'extraire des souterrains. Et dans l'espace dégagé de l'extérieur Le chevalier décida de faire face pour laisser le temps au autres de s'enfuir.
Deux Gors et un chef plus imposant sortirent alors.
Gors : dégat : 4, armure : 2, rang 3.
Dans un premier temps, le jeune chevalier, préfère attendre les ennemis de pied ferme pour être sûr que villageois puissent s'éloigner. Malgré leur taille imposante Clodhbert domine ses adversaires qui perdent du temps lui, Déjà le moindre coup qu'ils donnent, Clodhbert le prend pour lui, en suite les trois hommes bêtes ne parviennent pas passer la defense du chevalier, et enfin Clodhbert et Ludwig finissent par mettre à terre les trois monstre !
Plus tard Clodbert revint vers les autres. Tous soulagés de voir le chevalier revenir sain et sauf.
De retour au village les trois héraut se virent offrir le gite et le couvert. Et eurent le fin mot de l'histoire. En effet une petite harde de Bêtes avaient élu domicile dans la forêt environnante du village, et après quelques enlèvements, une partie de la population décida de vénérer ces créatures pour s'accorder leur clémence. Comme des dissiples ceux ayant prété alégance aux servants du chaos finirent par faire prisonnier le reste du village pour les offirir en nourriture au rejeton du mal.
Dans le groupe de rescapés il y avait un troubadour étonné au plus haut point il décida d'écrir un laid au louange du bretonnien, de son amie la Dame Ysabel, et de leur fidel écuyer Heinrich.
Dans cette chanson le compositeur a imaginé une idyle amoureuse entre le Chevalier et la Dame. Mais la réalité était toutes autre...
Alors quelques jours plus tard ils arrivèrent enfin à Mareinbourg, le Troubadour qui les avaient suivis un moment pris la direction de la bretonnie pour vendre ses chansons.